Certains objectifs sont d’ores et déjà envisagés :
Toucher plus de jeunes : Afin de faire vivre à un nombre toujours plus important de jeunes une expérience de solidarité internationale et de rencontre interculturelle, le Fonjep cherchera à mieux communiquer sur ces dispositifs.
Toucher mieux les jeunes : En collaboration constante avec les services nationaux et décentralisés de l’Etat, le Fonjep place au centre de ses priorités l’égalité d’accès pour tous les jeunes aux sources de co-financement dont il détient la gestion. Ainsi, le Pôle Solidarité Internationale travaillera à formuler une analyse qualitative cherchant à rompre avec les situations d’enclaves territoriales et sociales.
Une première initiative consistera à généraliser l’organisation de jurys en région. Ces jurys seront l’occasion pour les jeunes de venir présenter et défendre leur projet devant une assemblée composée d’un maximum de 5 instructeurs (un représentant du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères, un représentant du Fonjep et des représentants associatifs et de l’Etat). Ce changement dans le mode d’instruction permettra d’enrichir les décisions prises par les comités nationaux. Ces jurys permettront d’informer et de sensibiliser de manière plus importante les acteurs sur tous les territoires, de faire participer plus directement les jeunes à la phase d’instruction des projets qu’ils auront co-construits et d’impulser plus fortement une dynamique de gouvernance partagée des dispositifs au sein des territoires.
Mieux suivre et évaluer les projets : Afin d’être en phase avec les valeurs que le Fonjep souhaite porter, le Pôle Solidarité Internationale placera au cœur de son action le principe de redevabilité vis-à-vis des populations des pays dans lesquels les projets sont implémentés. A cet égard, le Pôle cherchera au cours de l’année à renforcer la qualité des instructions des projets menées lors des jurys et des comités nationaux, mais également à améliorer le suivi des projets sur place.